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Classification des formes





Classification française

Plusieurs formes de schizophrénie peuvent être distinguées:

  • la schizophrénie simple[réf. nécessaire]. Les symptômes négatifs sont au premier plan: appauvrissement des relations socio-professionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants. Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué;
  • la schizophrénie paranoïde. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire et les hallucinations dominent le tableau clinique et le sujet répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques;
  • la schizophrénie hébéphrénique. La dissociation des fonctions cognitives est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques. Cette forme de schizophrénie touche principalement les adolescents;
  • la schizophrénie catatonique. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qui lui sont imposées, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou répète toujours les mêmes phrases. Cette forme, soumise à traitement, est rarement définitive;
  • la schizophrénie dysthymique (troubles schizo-affectifs). Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent, au moins en partie, aux traitements par thymorégulateurs (comme le lithium);
  • la schizophrénie pseudonévrotique. Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants ni schizophréniques ni bipolaires (syndrome de conversion, phobie, anxiété ou obsession);
  • la schizophrénie pseudo-psychopathique [réf. nécessaire] ou «héboïdophrénique». Cet état est considéré comme un trouble à caractère pré-schizophrénique où l'adolescent a des comportements d'opposition importants envers son entourage en présence de troubles de la pensée, phases délirantes et impulsivité. Il coexiste alors des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.

Les schizophrénies, simples, hébéphréniques et catatoniques, sont regroupées dans le groupe des schizophrénies déficitaires.

Classification américaine

Le DSM-IV-TR propose, lui, une classification de la schizophrénie en cinq types:

  • type paranoïde: voir ci-dessus;
  • type catatonique: voir ci-dessus;
  • type désorganisé: le discours désorganisé, les comportements désorganisés et l'affect inapproprié prennent toute la place du tableau clinique. Ce trouble a une grande incidence familiale et un pronostic peu favorable;
  • type indifférencié: les symptômes clés de la schizophrénie sont présents et les critères généraux sont atteints sans rentrer dans un type particulier (paranoïde, catatonie, désorganisée);
  • type résiduel: l'absence de symptômes positifs actifs (hallucination, délire, comportement et discours désorganisé) est caractéristique ainsi que la présence de certains éléments atténués (croyances étranges) ou de symptômes négatifs (apathie, isolement social, perte de plaisir et d'intérêt).

Classification de l'école de Wernicke-Kleist-Leonhard

Cette classification refond la distinction entre schizophrénies et psychoses maniaco-dépressives (PMD) en décentrant les éléments du diagnostic des troubles psychotiques ou des troubles de l’humeur pour intégrer les troubles de la psychomotricité, de la pensée, du langage, etc. Il en résulte 35 phénotypes majeurs (cf. Karl Leonhard) à la place de la dichotomie «schizophrénie-PMD». Ceux-ci ont l’avantage38:

  • d’être valables pour le vie entière. Le diagnostic ne fluctue pas en fonction des épisodes. Les changements éventuels d’expression du phénotype sont pris en compte dans sa description39;
  • d’avoir une incidence pronostique puisque les psychoses cycloïdes répondent souvent aux critères CIM et DSM de la schizophrénie alors qu’elles évoluent favorablement;
  • de distinguer les phénotypes acquis des phénotypes héréditaires40;
  • et dans le cas des phénotypes héréditaires, de conserver l’homotypie au travers des membres de la famille, c'est-à-dire que les membres de la même famille ont le même diagnostic. Ainsi, les schizophrénies non-systématisées expliquent la co-occurrence des diagnostics de bipolarité et de schizophrénie dans le même famille.

Se référer à l'article sur Karl Leonhard pour la liste des différents phénotypes41.

Examens complémentaires

Ils peuvent être utile en cas de clinique atypique pour éliminer des diagnostics différentiels.

  • Scanner cérébral pour éliminer une tumeur cérébrale
  • Dosages de toxiques
  • EEG
  • Glycémie, ionogramme
  • TSH
  • Un bilan hépatique

Diagnostics différentiels

Plusieurs des symptômes positifs de la schizophrénie sont communs à d'autres désordres cérébraux.

Date: 2015-12-13; view: 300; Нарушение авторских прав; Помощь в написании работы --> СЮДА...



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