Ãëàâíàÿ Ñëó÷àéíàÿ ñòðàíèöà


Ïîëåçíîå:

Êàê ñäåëàòü ðàçãîâîð ïîëåçíûì è ïðèÿòíûì Êàê ñäåëàòü îáúåìíóþ çâåçäó ñâîèìè ðóêàìè Êàê ñäåëàòü òî, ÷òî äåëàòü íå õî÷åòñÿ? Êàê ñäåëàòü ïîãðåìóøêó Êàê ñäåëàòü òàê ÷òîáû æåíùèíû ñàìè çíàêîìèëèñü ñ âàìè Êàê ñäåëàòü èäåþ êîììåð÷åñêîé Êàê ñäåëàòü õîðîøóþ ðàñòÿæêó íîã? Êàê ñäåëàòü íàø ðàçóì çäîðîâûì? Êàê ñäåëàòü, ÷òîáû ëþäè îáìàíûâàëè ìåíüøå Âîïðîñ 4. Êàê ñäåëàòü òàê, ÷òîáû âàñ óâàæàëè è öåíèëè? Êàê ñäåëàòü ëó÷øå ñåáå è äðóãèì ëþäÿì Êàê ñäåëàòü ñâèäàíèå èíòåðåñíûì?


Êàòåãîðèè:

ÀðõèòåêòóðàÀñòðîíîìèÿÁèîëîãèÿÃåîãðàôèÿÃåîëîãèÿÈíôîðìàòèêàÈñêóññòâîÈñòîðèÿÊóëèíàðèÿÊóëüòóðàÌàðêåòèíãÌàòåìàòèêàÌåäèöèíàÌåíåäæìåíòÎõðàíà òðóäàÏðàâîÏðîèçâîäñòâîÏñèõîëîãèÿÐåëèãèÿÑîöèîëîãèÿÑïîðòÒåõíèêàÔèçèêàÔèëîñîôèÿÕèìèÿÝêîëîãèÿÝêîíîìèêàÝëåêòðîíèêà






Les fonctions de la communication(c.28) et les styles langagiers c.38,c.42,c.43





17. Tropes et leur caractéristique.

Les transformations du sens propre de mots vers le sens figuré peuvent etre classer en figure dites tropes. Il faut distinguer 2 espèces de tropes: Les tropes métaphoriques et les tropes métonimiques qui different par le caractère de liens qui asseoient les notions.

La métonymie est la dénomination d'un objet par un autre lié au premier par un rapport de contiguïté.

Les métonymies se laissent classer en types variés selon le caractère du rapport qui leur sert de base. La plupart sont de caractère concret.

1. On prend la partie pour le tout et inversement, le tout pour la partie (synecdoque). L'homme peut être dénommé par une partie de son corps: Ç 'Est une bonne tête! C'est un cœur d'or!

2. On prend le contenant pour le contenu et inversement: la ville était sur ​​pied, toute la maison était en émoi ou les mots ville, maison sont employés pour les habitants de la ville ou de la maison. Les cas où le contenant est dénommé par le contenu sont rares; tels sont un café, un billard.

3. On prend parfois la matière pour la chose fabriquée: le carton n'est pas seulement une pâte de papier mais aussi une boîte pour chapeaux ou chaussures et une espèce de portefeuille à dessin; par les substantifs tels cçaçfer, marbre, bronze désignent tout aussi bien la matière que les objets fabriqués avec ces matières.

4. On prend parfois le producteur pour le produit. Souvent un ouvrage, une création reçoit le nom de l'auteur ou deTlnventeur. On dit un Montaigne pour un recueil des œuvres de l'écrivain, un magnifique Rembrandt. Plus rarement le nom du produit est appliqué au producteur. Pourtant on désigjie un animal par le cri qu'il produit: un coucou, un cri-cri.

5. Un type très fréquent de la métonymie consiste à faire passer certains termes du sens abstrait au sens concret: ameublement - «action de meubler» désigne par métonymie l'ensemble des meubles. De même le nom d'une qualité abstraite peut s'appliquer à la chose ou à la personne possédant cette qualité: un talent, une célébrité, une beauté.

La métaphore. La métaphore est la dénomination d'un objet par un autre lié au premier par une association de similitude. Par métaphore on désigne un nouvel objet ou phénomène qui, contrairement à la métonymie, suppose quelque propriété ou trait commun avec l'objet ou le phénomène antérieurement désigné par le mot. La métaphore est un procédé sémantique extrêmement fécond. Tout comme la métonymie elle crée de nouveaux sens et emplois sémantiques. Les métaphores concrètes sont bien fréquentes. Ce sont souvent les noms d'objets qui servent à désigner d'autres objets de la réalité: le nez d'un navire; le bec d'une bouilloire, d'une théière; les dents d'un peigne.

Tout comme les métonymies les métaphores de la langue sont des dénominations directes d'objets ou de phénomènes ou bien des acceptions figurées et émotives (bouton-d'or, bras d'un fauteuil, un petit monstre).

18. Figure stylistique et leur caractéristique.

Les figures sont des procédés stylistiques où la syntaxe, le choix du lexique et l’intonation visent tous le même but, celui de la mise en lumière du même fait.

La répétition est un procédé efficace de mise en relief logique et surtout affective.

p.ex. On se débat; c’est vous, c’est lui, c’est moi, c’est toi; non, ce n’est pas nous; eh, mais qui donc? (Beaumarchais, le mariage de Figaro).// Admirais-je? Oui, j’admirais! étais-je touché de pitié? J’étais touché de pitié; mais une teinte de ridicule était fondue dans ces sentiments et les dénaturait. (Denis Diderot, Le Neveux de Rameau).

 

Les écarts usuels de répétitions:

L’anaphore – la répétition des mots en début de phrases ou de propositions successives: j’ai vu des déserts, j’ai vu des vallées riantes, j’ai vu des villes sans joie.

La reprise est la répétition non d’un mot plein, ou lexème, mais d’un mot sémantiquement non autonomes, les morphèmes (articles, terminaisons, conjonctions et prépositions: je crève de faim, tout simplement. Une fois mon temps fini, j’ai voulu venir ici pour… pour faire fortune ou plutôt pour vivre à Paris. (G. De Maupassant, Bel-Ami)

L’épiphore, c’est la répétition de mots en fin de phrases ou de propositions successives: il aperçoit le veston de son ennemi, la tête glabre de son ennemi, le sourire mauvais de son ennemi.

L’anaphore met en valeur le thème, l’épiphore résume l’idée de chacune des strophes, l’idée est mise en valeur avec une instance ascendante.

L’anépiphore – le même mot ou le même groupe de mots se retrouve au début et à la fin d’une strophe, d’un alénia ou d’une phrase: je chante soir et matin / je chante sur mon chemin

La symploque conjugue l’utilisation de l’anaphore et de l’épiphore. Alors, c’est qu’ils n’ont pas su. Il faut que je me dise qu’ils n’ont pas su. Et il faut que je sache pourquoi ils n’ont pas su. Il faut que je questionne ceux que je peux atteindre. (J. Romains, les hommes de bonne volonté).

L’anadiplose -on répète au début d’une phrase ou d’une proposition des mots qui terminent la phrase ou la proposition précédente: chemin faisant nous reverrons la petite auberge. La petite auberge, elle est toujours là…

 

Le parallélisme, c’est un procédé qui permet de faire apparaître la correspondance entre deux éléments ou deux parties d’un énoncé grâce à des répétitions de structures syntaxiques et /ou morphologiques. On souligne ainsi leur parenté: identité, différence, opposition, égalité: ils aiment mieux la mort que la paix, les autres aiment mieux la mort que la guerre. (Pascal, Pensées)

 

L’opposition, c’est une opération intellectuelle fondamentale, applicable à la connaissance du réel. Trois types d’oppositions: antithèse, chiasme, oxymore.

Antithèse, c’est une opposition des mots, des phrases ou des ensembles plus vastes dont le sens est inverse ou le devient. C’est le rapprochement entre deux termes, deux expressions, deux phrases de sens opposées ou évoquant des réalités opposées: «…j’aimerais mieux une laide bien sotte /qu’une femme fort belle avec beaucoup d’esprit.» (Molière) elle peut se créer à la base des antonymes sans modifier leur sens lexicographique ou par une opposition grammaticale: passé/ présent.

Chiasme, c’est la répétition inversée d’un schéma syntaxique: AB – BA: ajoutez quelquefois et souvent effacez (Boileau); un homme honnête – un honnête homme. Il apostrophe les effets d’antithèse, attire l’attention, se retient facilement, crée le rythme. On l’utilise dans la poésie lyrique et dramatique, les titres de presse, les slogans.

L’oxymore réunie deux mots ou deux expressions de nature antithétique pour les rendre identiques. Elle est donc la résolution d’une antithèse: une belle horreur.

L’expansion, c’est-à-dire, l’enrichissement de la phrase, se fait selon les techniques normatives de l’addition, de l’emboîtement et du dédoublement, mais aussi par des écarts syntagmatiques. Trois écarts d’expansion: accumulation, énumération, gradation.

Accumulation est une suite de mots ou de groupe de mots de même nature grammaticale: il bondit de son fauteuil, saisit une main, caresse un bras, confi9e une anecdote, propose à boire à tout le monde et devient le meilleur ami de chacun.

Énumération, très proche de l’accumulation, mais elle classe et inventorie: elle fait tout dans la maison: lave le plancher, fait la lessive, prépare le dîner…; pour réaliser ce travail, il faut avoir de l’argent, du temps, des connaissances…

Gradation est une accumulation selon une progression: elle est vectorisée. Lorsque chaque mot apporte un complément de signification au précédent, la gradation est ascendante. Dans le cas inverse, elle est descendante: c’est bien, c’est très bien, c’est fort bien…; je vous le répète toute la vie, tout le jour et tout le moment…

L’idée peut-être renforcer dans la phrase à l’aide de la mise en relief syntaxique qui comprend deux variétés: la reprise et l’anticipation.

La reprise, c’est la mise en relief, accompagnée d’itération sémantique devant le verbe, l’anticipation – après le verbe: l’exam, tu l’as passé?; tu l’as passé, l’exam?

L’hyperbole est un écart de style fondé sur la substitution d’un mot ou d’une expression à un mot ou une expression normalement attendu: je meurs de faim. Elle peut concerner plusieurs mots et doubler un autre écart: l’ouragan souffle sur les prix- ouragan est à la fois métaphorique et hyperbolique. Situation d’emploi: courante dans la langue familière, elle convient au discours politique, au pamphlets, à la presse, etc.

L’adynaton est une hyperbole tellement exagérée qu’elle parait fallacieuse, en somme, c’est une hyperbole hyperbolique: il a un appétit à avaler des beufs.

 

Le leitmotiv- formule, idée qui revient sans cesse dans un discours, une conversation, une oeuvre littéraire.

 

19. Caractéristique générale de la phrase complexe en tant qu’unité syntaxique. (òëô)

20. Objet d’etude de la morphologie et de la syntaxe.(tetrad’)

21. Structure de la langue française.

22. Critères de la division des mots en parties du discours.

23. Catégories essentielles du substantif.

24. Catégories prédicatives du verbe.

On dis­tingue les catégories grammaticales essentiellement verbales et les catégories prédicatives. Les catégories grammaticales prédicatives ne sont propres qu'aux formes personnelles. En français aux catégories essentiellement verbales se rapportent la corrélation de temps (les formes composées/ les formes simples) et la voix (les verbes pronominaux/ les verbes non-pronominaux).

Les catégories prédicatives — la personne, le mode, le temps — sont liées à la prédicativité syntaxique. Le rapport au temps, à la personne grammaticale, à la réalité (la modalité) caractérise toute prédicativité. Autrement dit, le temps, le mode, la personne tout en étant des catégories morphologiques servent de formes de la réalisation de la prédicativité syntaxique. La catégorie grammaticale de l'aspect en français (l'imparfait/ le passé simple) se renferme aussi dans les formes personnelles prédicatives et n'existe qu'à l'indicatif du plan passé.

Date: 2016-07-25; view: 386; Íàðóøåíèå àâòîðñêèõ ïðàâ; Ïîìîùü â íàïèñàíèè ðàáîòû --> ÑÞÄÀ...



mydocx.ru - 2015-2024 year. (0.005 sec.) Âñå ìàòåðèàëû ïðåäñòàâëåííûå íà ñàéòå èñêëþ÷èòåëüíî ñ öåëüþ îçíàêîìëåíèÿ ÷èòàòåëÿìè è íå ïðåñëåäóþò êîììåð÷åñêèõ öåëåé èëè íàðóøåíèå àâòîðñêèõ ïðàâ - Ïîæàëîâàòüñÿ íà ïóáëèêàöèþ